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Par sa formule d'envoi gratuit à de très nombreuses familles arméniennes, ce mensuel qui se proclame " le Mensuel des Arméniens de France ", atteint même un tirage record de 21500 exemplaires au milieu des années 1980, avant de décliner progressivement, faute de moyens financiers suffisants. illustrant notre point de vue. Un titre qui disparut très vite, malheureusement. Jusqu’en 1939, le journal informe, éduque et structure la communauté arménienne de France[4]. Le dernier quotidien ayant une certaine envergure, Haratch, disparaît en 2009. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la plupart des journaux et revues disparaissent, leurs acteurs étant mobilisés sous les drapeaux, engagés dans la résistance ou choisissant le silence pour ne pas subir la censure de l'occupant allemand[23], comme Chavarche Missakian qui décide de ne pas faire paraître Haratch pendant le conflit. On trouve aussi à cette époque Arevelk (Արեւելք, « Orient », 1855-1856) puis Arevmoudk (Արեւմուտք, « Occident », 1859 et 1864-1865) par Stepan Voskan (1825-1901)[3], qui promeut une vision militante et nationaliste inspirée du Risorgimento[2],[1] et veut diffuser les idées de progrès économique et social ainsi que les idéaux de liberté que lui inspirent les luttes politiques en France[4]. Comité des Dames arméniennes de Décines, toujours présent aux côtés de l'ACEAAD. Haratch (en arménien Յառաջ, littéralement « En Avant ») était le premier quotidien en langue arménienne d' Europe. Dans les années 1910, quelques périodiques voient le jour comme Haï-Guiank (Հայ-կեանք, « Vie arménienne », 1913-1914), Khetan (Խթան, Aiguillon en français, 1915-1931, par Aram Turabian), Artsakank Parizi (Արձագանգ Փարիզի, « Échos de Paris », 1916-1925), Veradzenount (Վերածնունդ, « Renaissance », 1917-1921), Ayk (Այգ, « Aube », 1919)[7]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arménia marquant tant sur l'idéologie du mouvement Arménagan que la conscience arménienne toute entière, en lutte contre l'oppresseur Ottoman. Voir deux, tout au plus ! Cet axe est en cours de développement afin de nous implanter clairement dans toutes les communautés arméniennes en France. Simon Vratsian puibliera quant à lui, Vém, de 1932 à 1939. En 1993, le magazine "Les Nouvelles d'Arménie", d'une très belle pagination et très proche du professionalisme, vient consolider cette tendance de la presse arménienne 100% francophone. Tous les JT de France 3 à voir et revoir en direct ou replay quand vous voulez ! Il doit maintenant dépasser le cadre régional pour s’afficher clairement comme un magazine national. Fondé en 1925, il a publié son dernier numéro le 30 mai 2009[1],[2]. Ils sont peu mis en valeur dans les autres journaux, c’est notre point fort. Il échappe à la rafle des intellectuels arméniens de la capitale ottomane du 24 avril 1915 mais finit par se faire arrêter le 26 mars 1916 et est emprisonné jusqu'à l'armistice de Moudros[4]. Un an après le début d'Anahit commence la publication du trimestriel Panaser (Բանասեր, « Le philologue », 1899-1907)[1]. Le journal Haratch, qu’il fonde à Paris en 1925, lui permettra de structurer la communauté arménienne de France. Adresse : Rédaction : 41 rue des Ecoles - 94140 Alfortville, Téléphone : 01 43 53 19 90 ; Fax : 01 43 53 19 63, Propriétaire : Association Franco-Arménienne de Communication, 17, rue Bleue - 75009 Paris, Directeur de la publication : Henri Papazian, Prix d'abonnement : 100 FF pour 22 numéros par an, Autres renseignements : Journal de la radio arménienne AYP - FM, Adresse : 11, rue de Belledonne - 38100 Grenoble, Propriétaire : Azad Magazine, association Loi 1901, Directeur de la publication : Grégoire Atamian, Périodicité : revue trimestrielle, 4 numéros par an, Fondé en : Créé en 1978, il apparaît d’abord sous le titre de CAG Informations, Adresse : Rédaction : BP 12, 75660 Paris Cedex 14, Propriétaire : Fonds Arménien de France, Directeur de la publication : Bédros Terzian, Rédacteurs : Souren Kévorkian, Jeanine Paloulian, Tirage : 50 000 ex. Quelques années auparavant, l'UGAB (Union Générale Arménienne de Bienfaisance), sous l'impulsion de Boghos Noubar Pacha, avait également lancé une publication bimensuelle, l' "Artsagank" (Echo), un journal qui devait disparaître en 1925. Avec la prise de pouvoir du sultan Abdülhamid II (1876) et les massacres hamidiens (1894-1896) qui éprouvent durement les Arméniens de l'Empire ottoman, la France accueille de nombreux réfugiés, en particulier politiques. Pendant l'Occupation, Chavarche Missakian, vraisemblablement socialiste convaincu (le journal socialiste Le Populaire le désigne comme un « camarade »[5]), saborde volontairement son journal par antinazisme[6] puis le fait reparaître après la Libération[4]. Il est ensuite nommé rédacteur en chef du journal Djagadamard, quotidien de la Fédération révolutionnaire arménienne (FRA)[4]. N'est-elle pas, elle aussi, en reflet de la communauté, en phase avancée d'assimilation ? NAM dans certaines librairies, Fondateurs : Gérard Mahdessian, Seta Toutghalian, Harris Matossian, Thierry Nodarian. UGAB    UGAB Magazine (diffusion arrêtée - 2005) La plupart de ces publication n'eurent qu'un passage éphémère avec pas plus d'un seul et unique numéro ! La presse principale de la diaspora arménienne de France est aujourd'hui majoritairement en langue française, en particulier Nouvelles d'Arménie Magazine (1995-) et France Arménie (1984-)[33]. L'Arménoscope La majorité le sont à Paris, au sein d'une colonie arménienne peu nombreuse, estimée à moins de 1500 personnes, et désorganisée[7]. Le débat reste ouvert. AZAD Magazine Ce journal a en grande partie permis de structurer la communauté arménienne de France. Les journaux et les nouvelles de Arménie. L'Association pour la recherche et l’archivage de la mémoire arménienne (ARAM) annonce en 2013 la numérisation du journal pour la période 1945-2009[14]. 2 - Surprendre et informer nos lecteurs : pour les pages qui suivent l’actualité, Azad Magazine se doit de privilégier la réalisation de dossiers ou d’articles de fond. Devenu bilingue, Achkhar tient aujourd'hui encore, une place privilégiée au sein de la presse arménienne de France. Tsaïn, La voix de l'Eglise, Publication de PEAD (Paroisse de l'Eglise Arménienne de Décines) Au total, 22 214 numéros du journal sont numérisés, soit près de 90 000 pages[15]. Eglise arménienne (catholique) Ainsi, une soixantaine d'écrivains, intellectuels, journalistes et poètes arrivent alors à Paris[8], ainsi que de nombreux jeunes gens ayant fréquenté les écoles arméniennes en particulier de Constantinople[9]. L'histoire de Haratch est intimement liée à celle de son fondateur, Chavarche Missakian. Azad Magazine, qui rassemble autour du réacteur en chef Grégoire Atamian, de très nombreux rédacteurs (dont votre serviteur), est un magazine de qualité, fortement implanté dans les foyers de cette région comprise entre Lyon, Grenoble au Nord, Marseille et Nice au Sud. C'est surtout à partir des années 1920 que la presse arménienne de France prend un essor considérable, car les réfugiés fuyant le génocide affluent à partir de 1922-1923 sur le territoire français. AAAS-Infos, Bulletin de l'Association Arménienne d'Aide Sociale Axe de développement Haratch guide et conseille les réfugiés arméniens en France sur leur statut, le renouvellement des titres de séjour, le règlement de police, le droit au travail, le service militaire, mais aussi sur des questions d’hygiène, avec Hay Pouj dirigé par Chavarch Nartouni[4]. En 1928, justement, un journaliste arménien, Victor Gordon, lançait "Tsolk", une revue qui disparaissait très rapidement. Après plusieurs changements d’adresse et d’imprimerie, Haratch s’installe finalement en 1973 au 83 rue de Hauteville à Paris, dans une pièce pour la rédaction et un atelier pour la linotype de marque allemande acquise en 1953[3]. Presse arménienne de France Manchette du journal Haratch (1925-2009), … France Arménie, le lien précieux entre tous les Arméniens, c'est le résultat d'un travail acharné d'une petite équipe de permanents, de responsables et de nombreux rédacteurs bénévoles convaincus par la tâche qu'ils mènent depuis de nombreuses années, pour maintenir l'identité arménienne en diaspora et en particulier en France. Retrouvez France Arménie sur Facebook. La même année, l'Union des Ecrivains Arméniens de Paris, lancera "Hartkogh" qui " tiendra " jusqu'en 1928. En 1926 est lancée à Paris, la revue bimensuelle d'art, de culture et des sciences "Abaka". En voici le catalogue : La dernière modification de cette page a été faite le 21 septembre 2020 à 11:10. Au XXIe siècle, il n'existe presque plus de périodiques en langue arménienne en France. Parèv Un journal d'informations dont l'utilité et l'importance auprès des Arméniens de France se fait sentir à chaque numéro. Arménia dont les numéros parvenaient clandestinement jusqu'à Constantinople, fut considéré comme l'organe du parti Arménagan, le premier mouvement politique arménien organisé. Le journal comportait alors toujours l’éditorial de Charvarche, Mèr Khoske (en arménien Մեր Խոսքը, littéralement « Notre Parole »), un billet, des analyses politiques ou littéraires, et un feuilleton ouvert aux jeunes écrivains[3]. Ces lettrés fondent des petites imprimeries indépendantes : les imprimeries Araxes, Elekian, Bezazian, du Globe, de Navarre, Nersessian, Turabian, Der-Hagopian, Le Soleil, etc.[10]. GAMK (diffusion arrêtée le 31/03/2002) Panpere (Organe officiel des Eglises Evangéliques Arméniennes de France) Pour les pages culturelles, il faut continuer à surprendre le lecteur en montrant tous les aspects de notre culture et notre histoire et aussi à faire connaître des personnalités méconnues. L'édition papier est incluse dans le mensuel "Nouvelles d'Arménie Magazine". Cette indépendance nous permet d’écrire librement. Nouvelle série, numéro 1Janvier-Février 2006, Histoire résumée de la presse arménienne de France, Lettre d'attribution par la Bibliothèque nationale de France, Soirée en l'honneur de Haratch (Texte et photos de Philippe Pilibossian), 7, avenue de Toulouse - 34000 Montpellier, 1, Allée du 8 mai 1945 - 94140 Alfortville. La bibliothèque de l’Église apostolique arménienne de Paris possède dans ses fonds un certain nombre de périodiques. La première revue est Maciats Aghavni (Մասեաց աղաւնի, « La colombe du Massis », 1855-1858 à Paris[1] puis jusqu'en 1865 à Théodosie) du père Gabriel Aïvazian (1812-1880, frère d'Ivan Aïvazovski), qui se donne pour objectif de promouvoir l'éducation culturelle, scientifique et morale du peuple[2],[1]. coopératifs. Les Nouvelles d'Arménie - devenues aujourd'hui "Nouvelles d'Arménie Magazine" dont le rédacteur en chef n'est autre qu'Ara Toranian, bénéficie tant en Arménie qu'en France, d'une notoriété exceptionnelle. rafle des intellectuels arméniens de la capitale ottomane du 24 avril 1915, Association pour la recherche et l’archivage de la mémoire arménienne (ARAM), Ministère de la Culture et de la Communication, « Le dernier numéro du quotidien arménien Haratch », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Haratch&oldid=173475033, Presse quotidienne nationale disparue en France, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Quel est l'avenir de cette presse arménienne de France ? Ils ouvrent aussi des librairies, dont la plus connue est la librairie Hrand Samuelian, qui ouvre en 1930 dans le quartier latin en rachetant le fonds d'une libraire arménienne de Constantinople[8]. La dernière modification de cette page a été faite le 1 août 2020 à 22:51. Inaugurant ainsi le début d'une nouvelle ère du journalisme arménien, aboutissant au fil des quelque quatre à cinq mille titres publiés depuis cette époque, à la presse arménienne d'aujourd'hui. Un certain nombre de périodiques voit donc le jour dans l'entre-deux-guerres. Rendez-vous sur notre site. Le carnet (baptêmes, mariages, funérailles) et les dons complètent les informations que nous publions Le journal télé disponible en ligne avec un historique de plusieurs mois et un accès direct aux sujets Dans un premier temps trihebdomadaire, Haratch devient quotidien à partir du 1er janvier 1927[4]. Gamk qui introduisait dans ses pages le français, contrairement à Haratch qui refuse aujourd'hui encore d'ouvrir ses colonnes au bilinguisme. Il atteint une diffusion quotidienne de 5 000 exemplaires et autant d’abonnés, et paraît sans interruption jusqu’à l’entrée des Allemands à Paris[4]. Création du "Nor Haratch ("Nouveau Haratch", suite à l'arrêt de publication de "Haratch" par Arpik Missakian, fille et continuatrice du fondateur Chavarch Missakian ; Adresse : 1, avenue Houette - 93160 Noisy-le-Grand, Propriétaire : ACAM - Association Culturelle Arménienne de Marne-la-Vallée, Directeur de la publication et Rédacteur en chef: Philippe Pilibossian, Correspondants : Albert Andonian, Garo Mardirossian, Magdeleine Yéménidjian, Prix d'abonnement : adressé aux adhérents (adhésion, 15 Euros), Fondateurs : Philippe Pilibossian, Jean-Pierre Hatchikian, Adresse : 77, rue La Fayette - 75009 Paris, Adresse : Rédaction, Publicité : 6 cité du Wauxhall - 75010 Paris, Gérante-Directrice de la publication : Roseline Djihanian, Collectif de rédaction : G. Dédeyan, R. Dzagoyan, M. Haladjian, A.T. Mavian, B. Maslak, L. Mirdjanian, A. Samikyan, T. Samikyan, S. Sérik, O. Vanig, H. Vardanian, Périodicité : bimensuel (parution hebdomadaire pour 1 715 numéros, de mai 1960 à juillet 1993), Prix d'abonnement : France 6 mois, 35 euros - 1 an, 68 euros - Etranger 1 an, 85 euros, Dépôts de vente : Alfortville, Marseille, Paris 10e, Erevan, Autres renseignements : Impression : Ader - 75013 Paris, Adresse : BP 318 - 94709 Maisons-Alfort Cedex, Abonnement papier : Nouvelles d'Arménie Magazine, Directeur de la publication et rédacteur : Thierry Nodarian, Périodicité : mensuel (11 numéros par an), Diffusion papier : inclus dans les Nouvelles d'Arménie Magazine (et permanent sur internet), Prix au numéro : NAM 6,50 euros (gratuit sur internet), Prix d'abonnement : NAM 65 euros pour 11 numéros par an (France), Dépôts de vente : Car c'est peut-être là, dans le faible chiffre des tirages, qu'il convient de voir l'une des causes sérieuses de la fragilité des titres. Toujours au début de ces années 1980, naquit à Paris le quotidien "Gamk", organe de la FRA Dachnaktsoutioun. Mais le succès de ce quotidien arménien de la rue d'Hauteville, c'est aussi ses signatures. En 1931, paraissait la revue littéraire Ménk, une publication qui disparut après seulement cinq numéros. Une part importante des périodiques cités dans cet article sont disponibles en format numérisé sur le site suivant : Certains titres ont été numérisés et mis en ligne par l'. Autres renseignements : Ce bulletin se veut être le trait d'union entre l'Eglise et la communauté arménienne de Décines, Meyzieu et Vaulx-en-Velin Haratch (en arménien Յառաջ, littéralement « En Avant ») était le premier quotidien en langue arménienne d'Europe. En 1978, à Grenoble, naissait un bulletin le "CAG Informations", qui allait se transformer quelques années plus tard en "Azad Magazine". aux jeunes de mieux connaître l'histoire de notre communauté grâce à la participation de nos anciens, très Nouvelles d'Arménie Magazine Haratch était cet espoir de retour, cet espoir de justice. La numérisation est réalisée par COPEIA et a pu être mise en œuvre grâce aux fonds de l'ARAM ainsi qu'aux financements du Ministère de la Culture et de la Communication, de la Caisse d’Épargne CEPAC, de la fondation Bullukian (tranche 1960-1969) et surtout de la fondation Calouste Gulbenkian (tranche 1970 à 2009)[4]. Haiastan Cette " terre perdue " vers laquelle il rêvait un retour imminent. Il y a plus de deux siècles, à Madras (Inde), Haroutioun Chemavonianfondait le premier journal arménien, l'Aztarar. Une trentaine de périodiques sont édités jusqu'en 1920. Dans cette période de fin du XIXe début XXe siècle, la France, patrie de la Liberté, de l'Egalité et des Droits de l'Homme, allait servir pleinement sa vocation de " terre d'asile " pour les nombreux intellectuels Arméniens qui fuyaient les persécutions de l'Empire Ottoman. De 1855 à 1918, près d'une quarantaine de titres arméniens voient le jour dans l'Hexagone. Azad Magazine est, en premier lieu, un journal apolitique, qui n’est affilié à aucune association ou parti. UMAF    Journal de l'UMAF Peu après paraît Pariz (Փարիզ, « Paris », 1860-1864)[1]. En 2018, la totalité des numéros est en ligne, de 1925 à 2009[15]. En 1958, Avédis Alexanian fondait "Achkhar", l'organe de l'UCFAF. Le Courrier du Fonds Arménien de France Durant cette même période de ce début du " siècle des Lumières ", de 1901 à 1908, un groupe d'intellectuels Arméniens, conduits par Arpiar Arpiarian et Yervant Odian, lançaient à Paris le périodique "Azad Khosk" (Libre parole). Le 5 décembre 1976 est lancé un supplément mensuel littéraire et artistique intitulé Midk yèv Arvest (en arménien Միտք եւ արուեստ, littéralement « Pensée et Art »)[7]. Parmi ces titres quelque peu méconnus, signalons "Mér Tsaïn" (1919), Zeitoune (1920), Hay Kordzavor (1924), Yérévan (de 1926 à 1930), des publications pro-communistes ou pro-soviétiques pour la plupart. Chavarche Missakian est ensuite élu membre du Bureau de la FRA et fonde le 1er août à Paris en son propre nom le journal Haratch[4]. Autre publication majeure, qui marquera l'esprit de la communauté arménienne de France par la qualité de ses articles et analyses, Anahid sera publié - avec toutefois quelques interruptions - jusqu'en 1949, soit cinq ans avant la disparition tragique d'Archag Tchobanian, dans un accident de la circulation. Haratch était pour le nouvel immigré Arménien de France, un peu de cette lumière d'Arménie, à travers laquelle il visitait l'espace d'une lecture le fameux " yergir". pour le Phonéthon 2008, Prix d'abonnement : 2 Euros pour 4 numéros par an, Imprimerie : Robert Arts Graphiques, 92150 Suresnes, Adresse : Rédaction : 10 bis, rue Thouin - 75005 Paris, Propriétaire : Bulletin mensuel de l'Eparchie de Sainte-Croix de-Paris des Arméniens catholiques de France, Directeur de la publication : Patrice Dédeyan, Rédacteur en chef : Père Joseph Kélékian, Prix d'abonnement : 50 FF pour 11 numéros par an (7,50 Euro), Autres renseignements : Tirage Poly Print Agence, 22, rue Labrouste - 75015 Paris, Adresse : Rédaction : 17 place de la Ferrandière - 69003 Lyon, Directeur de la publication : Michel Cazarian, Prix d'abonnement : annuel 69 euros; pour 2 ans 120 euros ; simple pour l'étranger 110 euros, Fondateurs : Mihran Amtablian, Kévork Képénékian , Jules Mardirossian, Vahé Muradian, Autres renseignements : Publicité : Christine Kirkorian : 06 15 998 29 03, diffusion arrêtée le 31/03/2002, après 4 376 numéros en 17 ans, Propriétaire : FRA-NOR SEROUND, 17, rue Bleue - 75009 Paris ; Fédération révolutionnaire arménienne, Directeur de la publication : Eric Bakerdjian, Prix d'abonnement : 6 mois, 650 FRF ; 1 an 1 200 FRF, Propriétaire : FRA-NOR SEROUND, 17, rue Bleue - 75009 Paris, Directeur de la publication : Thadé Gharapétian, Dépôts de vente : Librairie Samuélian, vente aux manifestations, Commission paritaire : 56.105 du 7 janvier 1975, Adresse : 83, rue d'Hauteville, 75010 Paris, Directeur de la publication : Arpik Missakian, Prix d'abonnement : annuel 250 euros ; 6 mois 135 euros ; étranger annuel 300 euros (envoi quotidien), 270 euros (envoi hebdomadaire), Adresse : 29, rue Etienne Dolet - 94140 Alfortville, Propriétaire : Organisation Arménienne Démocrate Libérale, Directeur de la publication : Jean Varoujan Sirapian, Prix d'abonnement annuel : 18 euros / 6 numéros, Adresse : 83, rue d'Hauteville - 75010 Paris, Directeur de la publication : Jiraïr Jolakian, Prix d'abonnement annuel : 220 euros (France), 270 euros (Europe), Autres renseignements : Imprimé et distribué par SAS Inter Routage, 49-55, rue des Écoles, 93321 Aubervilliers Cedex, Propriétaire : SARL Société Franco-Arménienne de Presse et de Communication (SFAPC), Directeur de la publication : Ara Toranian, Périodicité : revue mensuelle, 10 numéros par an, Prix d'abonnement : France : un an (11 numéros) 60 euros, étranger 71 euros ; 2 ans (22 numéros) 114 euros, étranger 135 euros ; cartes bancaires acceptées, Directeur de la publication et gérant : Pasteur Jean Agopian, Secrétaire : Mlle Varsénig Sarkissian - 13 place Mignard - 13009 Marseille, Propriétaire : Union des Eglises Evangéliques Arméniennes de France, 4, rue Docteur Paul-Diday, 69003 Lyon, Langue : arménien, et 4 pages en français depuis la nouvelle série en 2006, Imprimerie Soulié : 18, rue Dragon - 13006 Marseille, Prix d'abonnement annuel : France 25 euros ; Autres pays 30 US dollars, Fondateurs : Pasteurs Hovhannès Ghazarossian, Joseph Barsamian, Paul Berron, Propriétaire : Conseil Communautaire Arménien de la Côte d'Azur, Directeur de la publication : Gaspard Kayadjanian, Prix d'abonnement annuel : France : 40 FF, Abonnement de soutien : 100 FF, Bienfaiteur : 500 FF, Adresse : Eglise Apostolique Arménienne Saint-Grégoire l'Illuminateur, 6, rue Père Komitas- 92370 Chaville, Propriétaire :

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